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Un homme atteint par balle dans Rosemont

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Un homme de 39 ans a été blessé par balle lundi en début d'après-midi au coin des rues Bélanger et Garnier, dans l'arrondissement de Rosemont–La Petite-Patrie de Montréal, indique le Service de police de la Ville de Montréal.

Les policiers ont été appelés vers 13h30 pour venir en aide à un homme «atteint par au moins un projectile», indique le porte-parole du Service de police de la Ville de Montréal, Julien Lévesque. La victime, qui est connue des policiers, se trouvait au volant de sa voiture décapotable.

«Il a été transporté en centre hospitalier où on craint pour sa vie», a ajouté M. Lévesque.

Un suspect aurait été vu quittant les lieux. «Une arme a été trouvée à proximité», assure l'agent Lévesque. Aucune arrestation n'a toutefois été rapportée par le corps de police.

Un périmètre de sécurité a été érigé afin de permettre aux enquêteurs et aux techniciens en identité judiciaire de procéder à l'examen de la scène.

Avec des informations de la Presse canadienne.

Plus de détails à venir.


«Les Chaises» au Théâtre du Nouveau Monde

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Un couple de vieillards, bien plus proches de la fin que du commencement de leur vie, reçoivent chez eux une foule d'invités fantomatiques, tous plus célèbres les uns que les autres. Une manière de finir en beauté une vie qui n'en a pas eu beaucoup. Expression de la solitude à deux, les deux vieux se limiteraient sinon à rabâcher, jusqu'à la fin, leur existence pleine de vide, monotone et on ne peut plus médiocre.

Eugène Ionesco est un auteur absolument génial et Les Chaises, l'une de ses œuvres les plus réussies. Pour clore la saison du TNM, la pièce est servie par deux monuments du théâtre québécois, Monique Miller et Gilles Renaud, ainsi que par une belle mise en scène de Frédéric Dubois qui font honneur à son auteur.

Ce qui est vraiment étonnant, c'est que plus de 60 ans après sa création, les dialogues et les situations des Chaises restent toujours aussi déconcertants et originaux. Ionesco joue avec les mots et les actions de toutes les manières possibles, y compris délirantes. On est en plein non-sens, mais avec Ionesco, le non-sens fait sens, et en profondeur.

Apparemment gratuits, ses jeux sur les mots et ses situations invraisemblables ne produisent pas seulement le rire ou le sourire du spectateur par leur absurdité ou leur loufoquerie. Ils rejoignent le tragique de la vie et donnent à réfléchir mieux que n'importe quel discours rationnel. Ionesco pousse la logique du logos, au bout de son illogisme. Les paroles sont creuses et tournent en rond sur elles-mêmes. Les deux vieillards n'ont rien à se dire et ne font que répéter, mais il faut bien parler, car sinon ce serait le vide total. Alors qu'ils ont vécu la même vie faite quasiment de rien, même les souvenirs de ce qui aurait pu compter sont défaillants. Il ne leur reste que les mots, toujours les mêmes, et tellement usés qu'ils se retrouvent dénués de leur moindre expression. Le couple a vu sa vie filer dans la répétition des mêmes blagues, des mêmes regrets, dans la petitesse du quotidien. À présent qu'il est temps de partir, une sorte de sursaut fantasmatique leur suggère de quitter le monde en y mettant de la grandeur.

Chez ces deux vieillards, ce qui les a maintenus jusque-là, c'est sans doute leur amour. Il y a de l'amour entre eux, c'est sûr, mais Ionesco ajoute à la mélancolie de l'œuvre en montrant que l'amour, de manière générale, est lui aussi fragile. L'arrivée des premiers « invités » le signale. Le vieux et la vieille se laisseraient bien aller à puiser de l'amour ailleurs, y compris auprès de personnes inexistantes. Mais d'autres invités sonnent à la porte et arrivent, encore et encore. Il faut prévoir des chaises pour les recevoir dignement, beaucoup de chaises. De tous les procédés hilarants de Ionesco, le meilleur est probablement celui où on voit qu'il s'emballe dans son écriture, que rien ne peut l'arrêter ; les situations et les mots sont poussés tellement à bout qu'ils lui échappent totalement et mènent à une prolifération très comique et qui donne le vertige en rejoignant des pensées que tous les humains ont. L'absurdité de la pièce, tout en étant très drôle, donne à voir et à ressentir ce qu'il y a de tragique dans la totale absurdité de l'existence elle-même.

Les Chaises, du 8 mai au 2 juin 2018, au TNM à Montréal

Texte Eugène Ionesco

Mise en scène Frédéric Dubois

Décors et accessoires Annick La Bissonnière

Costumes Linda Brunelle

Éclairages Caroline Ross

Coproduction Théâtre du Nouveau Monde et Théâtre des Fonds de Tiroirs

Distribution Monique Miller, Gilles Renaud, Jasmine Daigneault, Jean-François Guilbault, Alex-Aimé Martel, Rosalie Payotte

Informations https://www.tnm.qc.ca/

Cet article a aussi été publié sur info-culture.biz

L'économiste Éric Girard sera candidat pour la CAQ

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L'économiste Éric Girard, qui était jusqu'à tout récemment le premier vice-président et trésorier de la Banque Nationale, portera les couleurs de la Coalition avenir Québec (CAQ) dans la circonscription de Groulx lors de la prochaine élection générale.

Le chef de la CAQ, François Legault, a confirmé sa candidature, lundi après-midi, à Boisbriand.

Selon M. Legault, M. Girard est "un ajout de taille pour le Québec". Le chef caquiste précise que son candidat oeuvrait à la Banque Nationale depuis 25 ans et gérait, jusqu'à vendredi dernier, les liquidités, le financement et le risque de taux d'intérêt de l'institution.

"Concrètement, le gouvernement du Québec ne peut pas avoir une personne plus compétente pour gérer le placement de ses obligations sur les marchés internationaux. On ne peut pas espérer une personne qui connaît mieux les agences de notation", a-t-il estimé.

M. Legault a précisé que même si M. Girard est un banquier, "qui est évidemment prudent", il croit aux investissements dans les écoles publiques. Il souhaite également faire la promotion du français et juge qu'il est important d'investir dans les transports en commun.

"Je l'ai rencontré à deux reprises chez mois au cours des derniers mois, et le premier sujet dont il m'a parlé est l'importance d'investir plus dans les écoles publiques. C'est un sujet qui le passionne", a expliqué François Legault.

Éric Girard dit avoir été convaincu de faire le saut en politique parce qu'il a perçu dans la CAQ une "réelle volonté de changement, avec une bonne dose de continuité, notamment dans la gestion des finances publiques".

"Pour moi le mot-clé, c'est "coalition", un rassemblement d'hommes et de femmes de différents horizons qui veulent que le Québec progresse économiquement et socialement", a souligné le nouveau candidat caquiste, qui prévoit aller rencontrer les électeurs de Groulx sur le terrain au cours des prochaines semaines.

"L'équilibre des finances publiques est essentiel pour faire face au vieillissement de la population, mais surtout pour pouvoir investir en éducation et en innovation qui sont des clés pour la création de richesse."

Éric Girard est père de deux adolescents. Il est né à Sept-Îles, a grandi à Québec et réside sur l'île de Montréal.

Le lock-out à l'UQTR n'est toujours pas levé

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Le lock-out des 440 professeurs n'est toujours pas levé à l'Université du Québec à Trois-Rivières, malgré l'ultimatum à cet effet lancé par la ministre de l'Enseignement supérieur, Hélène David.

Et la ministre David s'en dit "extrêmement déçue" et rappelle que "le temps presse" à cause du contexte scolaire.

Lundi après-midi, le Syndicat des professeurs de l'UQTR tenait une rencontre pour évaluer la situation.

Au cours d'un point de presse, lundi matin, la direction de l'université avait plutôt renvoyé la balle dans le camp du syndicat des professeurs dans l'espoir d'en venir à une entente quant au renouvellement de la convention collective.

Le conseil d'administration de l'institution, qui s'était réuni exceptionnellement dimanche soir, s'est rangé derrière le recteur Daniel McMahon malgré l'ultimatum lancé par la ministre David.

Lundi, il a fait savoir qu'il avait adopté une résolution "pour réitérer sa pleine confiance au recteur Daniel McMahon et lui confier le mandat de prendre toute mesure ou décision qu'il estime nécessaire dans le cadre de la négociation du renouvellement de la dite convention collective, dont celle de maintenir le lock-out en vigueur".

Le conseil d'administration propose de lever le lock-out des professeurs "à la condition expresse que le Syndicat des professeurs accepte la suspension de l'application des articles 8 (répartition des postes) et 9 (embauches) de la convention collective" jusqu'à la signature d'une entente de principe et à sa ratification par les instances des parties.

L'offre globale déposée vendredi par la direction incluait justement des propositions sur la charge de travail des professeurs, le plancher d'emploi et la rémunération.

Les questions de la charge de travail des professeurs et du nombre de postes posent particulièrement problème aux yeux du syndicat.

"La direction avait des demandes assez importantes, comme celle d'ajouter un cinquième cours à la tâche professorale normale, ce qui va à l'encontre de la tradition universitaire au Québec. Une charge normale, c'est quatre cours par année. Ça fait plusieurs syndicats qui se font faire cette demande-là. Sherbrooke, l'année passée, s'est fait faire la même demande et a réussi à résister. C'est une brèche qu'on ne voudrait pas qui s'ouvre", a commenté au cours d'une entrevue avec La Presse canadienne Denis Bélisle, vice-président de la Fédération québécoise des professeurs d'université (FQPPU), à laquelle est affilié le syndicat des professeurs de l'UQTR.

La direction attend des nouvelles du Syndicat des professeurs de l'Université du Québec à Trois-Rivières depuis le dépôt de son offre globale.

Le syndicat a déjà poussé les hauts cris devant ces offres, les qualifiant d'illégales parce qu'elles auraient été aussi transmises directement à ses membres, passant ainsi outre le canal normal des relations de travail entre un employeur et un syndicat.

La direction a réitéré le fait qu'elle devait tenir compte, dans ses offres, de la nécessité de revenir à l'équilibre budgétaire tout en développant l'institution.

À ce sujet, M. Bélisle rétorque que l'UQTR ne fait pas exception, que la saine gestion est une préoccupation de tous les établissements universitaires.

"Mettre les professeurs en lock-out au début de l'été, ça fait en sorte qu'ils vont épuiser inutilement leur fonds de grève; ils ne pourront pas tenir six mois. C'est vraiment une stratégie qu'on estime déloyale de la part de l'UQTR parce qu'ils n'étaient pas rendus à un point de rupture dans la négociation", a estimé M. Bélisle.

La ministre du Travail, Dominique Vien, a déjà nommé le médiateur Gilles Lachance dans ce dossier, le 1er mai dernier. Le conciliateur François Corriveau, déjà affecté au dossier, l'assistera.

Quant à la ministre David, elle s'est faite insistante en s'adressant aux parties sur Facebook. "À défaut d'entente, j'insiste fortement pour que les parties demandent l'arbitrage volontaire, permettant de ce fait de mettre fin au lock-out. Cela serait à l'avantage de toute la communauté universitaire, y compris les étudiants", écrit-elle.

La FQPPU représente 8000 membres dans les différentes universités au Québec.

Le numérique en éducation doit rester public!

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La semaine dernière, la Centrale des syndicats du Québec (CSQ) dévoilait les résultats d'une grande enquête sur le numérique en éducation à laquelle ont participé 9 000 personnes. C'est une étude de fond qui a révélé que le personnel de l'éducation des secteurs scolaire, de l'enseignement supérieur et des établissements privés accueille très favorablement l'implantation des possibilités qu'offre le numérique dans leur pratique éducative (ou autre) et voit les bénéfices pour la motivation et l'apprentissage des élèves et des étudiantes et étudiants. Cependant, les personnes répondantes ont fait état du manque de formation pour intégrer correctement les outils numériques.

Or, nous apprenions dans la même semaine que le ministre de l'Éducation, du Loisir et du Sport, Sébastien Proulx, a annoncé une subvention de 990 000 $ au Centre d'animation, de développement et de recherche en éducation pour le 21e siècle (CADRE21). Or, cette plateforme de formation continue numérique élaborée par la Fédération des établissements d'enseignement privés (FEEP) mise sur l'autoformation des enseignantes et enseignants.

Une approche individualiste de la formation continue

En survolant le site Web de CADRE21, on constate que l'approche préconisée en est une très individualiste qui déresponsabilise les directions des établissements d'enseignement en matière de formation continue pour son personnel. On y offre des petits badges d'accomplissement (« explorateur », « architecte », « virtuose » et « innovateur ») pour marquer la progression des apprenants dans leur atteinte du statut ultime « d'accompagnateur et leader pédagogique ». La logique ressemble à s'y méprendre à celle des organismes faisant la promotion des méthodes de gestion Lean, Six Sigma et autres dérivées de la nouvelle gestion publique.

Cette logique de standardisation est néfaste pour l'autonomie professionnelle des enseignantes et enseignants.

Dans les écoles privées du Québec, la tendance observée montre que les enseignantes et enseignants perdent leur autonomie dans le choix de leur formation continue et l'implantation de CADRE21 vient la restreindre encore plus. Cette logique de standardisation est néfaste pour l'autonomie professionnelle des enseignantes et enseignants. D'autant plus qu'ils doivent généralement suivre cette formation sur leur temps personnel, déresponsabilisant du même coup leur employeur. Ce dont les enseignantes et enseignants ont besoin, ce n'est pas d'un outil qui ajoute à leur tâche, c'est de temps pour suivre des formations dont ils ont réellement besoin!

Inquiétante incursion du privé dans la formation des enseignantes et enseignants du public

Voici ce qu'a dit Sébastien Proulx à propos de CADRE21 :

La formation continue constitue un excellent accélérateur de changement positif, de progression, qui fait de notre réseau d'éducation un puissant levier économique et social. C'est exactement dans cette optique qu'a été créé le Centre d'animation, de développement et de recherche en éducation pour le 21e siècle, qui vise à accompagner les enseignants et enseignantes francophones dans leur réflexion et leur développement professionnels. Dans une société où le numérique est omniprésent, le CADRE21 est plus qu'à propos, et nous sommes heureux de l'appuyer.

Que le ministre réaffirme l'importance de la formation continue pour le personnel des établissements d'enseignement du Québec est une excellente chose, surtout dans le cadre de la Stratégie numérique du gouvernement du Québec et du Plan d'action sur le numérique du ministère de l'Éducation.

Cependant, il y a lieu de s'inquiéter avec cette annonce. Les outils de formation et l'expertise pour accompagner le personnel scolaire dans l'implantation des outils numériques dans leur pratique existent déjà. Le Réseau éducation collaboration innovation technologie (RÉCIT) existe déjà. Le RÉCIT est un réseau de conseillères et conseillers pédagogiques axé sur le développement des compétences des élèves par l'intégration des technologies de l'information et de la communication (TIC) et il réalise ce mandat par la formation, le soutien et l'accompagnement du personnel enseignant, tout en développant une culture de réseau et de partage.

Difficile à comprendre, dans ce contexte, pourquoi le ministre se tourne vers le privé plutôt que de bonifier les sommes déjà allouées à un réseau qui a fait ses preuves comme le RÉCIT. Par ailleurs, l'idée de faire porter sur les seules épaules des enseignantes et enseignants la responsabilité de la formation continue est inacceptable. Un tel projet amènera inévitablement les enseignantes et enseignants à se former sur leur temps personnel, diminuant encore la frontière vie professionnelle et vie privée. Cela implique également que le temps pris pour la formation sera du temps non rémunéré qui s'ajoute à la surtâche des enseignantes et des enseignants! Est-ce ainsi qu'on valorise la formation continue?

France Chevrette de «Robin et Stella» est décédée

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La comédienne France Chevrette, l'interprète de Robin dans l'émission jeunesse Robin et Stella,est décédée.

Lorraine Auger, qui lui donnait la réplique dans le personnage de Stella, a annoncé la nouvelle sur Facebook lundi après-midi.

«Merci France pour cette éternelle et mirifique complicité», a-t-elle écrit.

France Chevrette a campé Robin pendant quatre saisons sur les ondes de Radio-Québec de 1989 à 1993.

Marionnettiste de formation, elle se cachait aussi derrière le personnage de Tintinnabulle dans Passe-Partout.

Des centaines d'heures de service coupées à cause de la grève à la STM

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Les usagers du transport en commun ont dû composer avec 57 autobus de moins sur les routes de Montréal la semaine dernière. Cela signifie 513 heures de desserte par autobus en moins à cause de la grève des heures supplémentaires des employés d'entretien.

Les employés d'entretien de la Société de transport de Montréal (STM) ont mené six jours de grève des heures supplémentaires la semaine dernière, dans le cadre de la renégociation de leur convention collective.

Selon la STM, entre 10% et 15% du service d'entretien régulier dépend des heures supplémentaires. Au cours de la semaine, les travaux d'entretien régulier (comme les changements d'huile, par exemple) ont donc fonctionné au ralenti. La situation a forcé la STM à maintenir au garage 57 véhicules qui auraient normalement pris la route.

La STM doit mettre environ 1400 autobus sur les routes de Montréal pendant l'heure de pointe matinale, sur les 1828 véhicules qu'elle détient.

Lundi, le transporteur n'était pas en mesure de préciser quelles lignes et quels départs ont été coupés. La réduction de service aurait affecté diverses lignes et divers secteurs de la ville.

Les «commandes de travail» ont également augmenté au cours de la semaine. Ces commandes sont des demandes d'entretien spécifiques concernant un autobus donné, par exemple lors d'un bris mécanique ou lorsqu'un chauffeur perçoit un son inhabituel provenant du véhicule. Avant la grève, 156 commandes étaient en attente de traitement. Il y en a désormais 186.

Selon la STM, la grève des heures supplémentaires pourrait avoir des effets jusqu'en septembre, même si elle a pris fin dans la nuit de dimanche à lundi.

«Cette situation aura des conséquences immédiates jusqu'en juin, au moment où les vacances des employés débutent, ce qui ralentira le volume de travail et ultimement, des impacts anticipés possibles pourraient s'étendre jusqu'en septembre», affirme le porte-parole du transporteur, Philippe Déry.

Le métro et le transport adapté n'ont pas été touchés par la grève des heures supplémentaires, selon M. Déry.

Lundi, la STM a annoncé qu'elle a demandé l'intervention d'un médiateur pour faire avancer les négociations avec le Syndicat du transport de Montréal, qui représente les employés de l'entretien.

Le syndicat, affilié à la CSN, a refusé la demande d'entrevue du HuffPost Québec. Un bilan de la grève devrait être communiqué au cours des prochains jours.

L'organisme Trajectoire Québec, qui représente les usagers du transport en commun, affirme n'avoir reçu aucune plainte jusqu'à présent concernant la grève.

«On est au tout début des moyens de pression, donc c'est encore sous contrôle même si on a coupé des heures de service. On souhaite que les deux parties en viennent à une entente négociée pour avoir le moins d'impacts possible sur les usagers», affirme son président François Pépin.

Rappelons que les chauffeurs d'autobus et les opérateurs de métro se sont donné un mandat de grève générale illimitée il y a deux semaines. La grève sera déclenchée au moment jugé opportun par le syndicat, mais un niveau minimal de service devra être assuré parce que le transport en commun fait partie des services essentiels.

La STM se dit prête à intensifier les négociations avec les chauffeurs.

La mairesse Valérie Plante n'a pas souhaité commenter le dossier.

Québec est prêt à prélever les impôts fédéraux, comme le propose Andrew Scheer

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Le Québec est prêt à prélever les impôts du fédéral par le biais d'une seule déclaration d'impôts.

Le premier ministre Philippe Couillard a ainsi accueilli favorablement lundi la proposition du Parti conservateur (PCC) d'Andrew Scheer, qui veut instaurer un seul rapport d'impôts au Québec s'il forme le gouvernement, plutôt que les deux que les contribuables québécois doivent compléter actuellement.

Cet engagement du PCC fait partie d'une offensive de séduction visant les Québécois et lancée au dernier conseil général, à Saint-Hyacinthe, la fin de semaine dernière.

En point de presse lundi après-midi, M. Couillard a affirmé que le Québec était tout à fait en mesure de prélever les impôts fédéraux.

"Pour simplifier la vie des citoyens, on serait d'accord avec ça, a-t-il déclaré, en marge d'une activité à la Chambre de commerce de Québec. Il n'y a aucune raison pour laquelle on ne serait pas capable de le faire."

Le Québec dispose en effet de sa propre agence du revenu, comme Ottawa.

M. Couillard a toutefois imposé deux conditions: que le tout soit administré au Québec et que le Québec conserve son entière marge de manoeuvre fiscale.

"On ne veut pas se retrouver dans une situation où le Québec serait accroché au choix du fédéral et dépendrait des choix du fédéral pour décider de sa fiscalité", a-t-il précisé.

Le Parti conservateur reprend ainsi une proposition que le Nouveau Parti démocratique avait adoptée plus tôt cette année, mais il se défend de l'imiter.

Les conservateurs disent vouloir ainsi reconnaître le caractère distinct du Québec et réduire la lourdeur administrative.

En entrevue avec La Presse canadienne, le lieutenant du Parti conservateur au Québec, le député Alain Rayes, avait dit que "si le Québec veut le gérer, on va s'asseoir avec eux et on va le travailler. C'est le gros bon sens. C'est plus efficace, ça va coûter moins cher, ça va simplifier la tâche des contribuables, mais aussi des entreprises".

Rappelons que le Québec perçoit déjà la Taxe sur les produits et services (TPS) au nom du fédéral en vertu d'un accord convenu à la fin des années 1990.


Le danseur Yanis Marshall a vécu un cauchemar dans le costume de Deadpool

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Le danseur Yanis Marshall mène une séance d'étirements dans un studio de danse de Toronto.

Avec ses déhanchements, ses tournoiements gracieux et ses levers de jambe extrêmes, Yanis Marshall donne l'impression qu'il est aisé de danser en talons hauts dans le costume de Deadpool.

Il assure toutefois que le faire dans le nouveau clip de Céline Dion, «Ashes», pour la trame sonore du film «Deadpool 2» était loin d'être facile.

Lors d'un récent passage à Toronto pour donner un atelier de danse, Yanis Marshall a décrit le costume comme étant «la pire chose au monde».

Selon lui, le porter était «un cauchemar», même s'il précise qu'il a trouvé le costume magnifique. Il n'a toutefois pas été conçu pour la danse, ajoute-t-il.

L'apparition du danseur dans le clip a fait jaser, et plusieurs admirateurs se demandaient au départ si la vedette de «Deadpool», Ryan Reynolds, se trouvait lui-même dans le costume sur la scène du Caesars Palace, à Las Vegas.

L'acteur a rapidement donné l'heure juste sur les réseaux sociaux, applaudissant le talent de Yanis Marshall, un danseur et chorégraphe français qui a été finaliste à l'émission «Britain's Got Talent» en 2014.

«Toute cette danse de Deadpool en talons hauts, ce n'était pas mon idée. C'était l'idée de Ryan», note toutefois Yanis Marshall en entrevue.

«Je lui ai parlé sur le plateau et il m'a dit qu'il voulait trouver une façon de m'impliquer depuis longtemps. Il me connaissait grâce à sa femme Blake (Lively) (...) C'est elle qui lui avait montré mes vidéos et des trucs du genre dans le passé.»

Yanis Marshall est une vedette de YouTube qui a participé à l'émission «Danse avec les stars» en France à titre d'entraîneur, en plus d'avoir chorégraphié le spectacle «Zumanity» du Cirque du Soleil à Las Vegas. Sa mère était une professeure de danse qui lui a enseigné cet art alors qu'il était très jeune.

Il se spécialise dans la danse en talons hauts, particulièrement en bottillons, «pour une seule raison: parce que j'ai des pieds d'homme, donc je n'aime pas les chaussures ouvertes», dit-il.

Un admirateur de Céline Dion

Lorsque la 20th Century Fox lui a demandé de participer au clip de Céline Dion, réalisé par le cinéaste derrière «Deadpool 2» David Leitch, il était d'abord sceptique.

«Je ne regarde même pas ce genre de films, je regarde "Pretty Woman" et "Thelma and Louise". Mais Céline était impliquée et j'ai dit: "Ouais, essayons-le."»

Yanis Marshall dit avoir toujours été un admirateur de la chanteuse québécoise. Lorsqu'on lui demande quelle est sa chanson favorite, il cite «Pour que tu m'aimes encore», le succès de Céline Dion de 1995.

«En tant que jeune Français, j'ai été son admirateur avant même que les Américains ne la découvrent», souligne-t-il.

Et lorsqu'il a finalement pu la rencontrer sur le plateau du tournage d'«Ashes», il a eu l'impression d'être «un peu dans le brouillard».

«Elle est vraiment, vraiment gentille — un peu folle, je dirais, mais d'une bonne façon, et super aimable», raconte-t-il en riant.

Pour la vidéo, Yanis Marshall a dû danser pendant environ 12 heures, tournoyant autour de Céline Dion sur scène pendant que des cendres pleuvaient sur lui.

«J'étais comme mort lorsque ça s'est terminé», admet-il.

Il est heureux du résultat, surtout la scène finale lorsque Ryan Reynolds joue son personnage pour un moment de comédie.

«Le résultat est très bien, et c'est aussi hilarant», estime le danseur.

«Et ceux qui me connaissent savent que je ne me prends pas du tout au sérieux, donc j'étais l'homme parfait pour cela.»

Il n'a toutefois pas pu conserver le costume de Deadpool... quoiqu'il n'en aurait pas voulu en raison des limites qu'il impose au danseur.

«Le costume était accompagné d'un garde du corps, il était très protégé. Ces gens ne blaguent pas.»

Melania Trump opérée pour un problème au rein

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Melania Trump, épouse de Donald Trump, a été opérée lundi matin pour un problème "bénin" au rein et devrait rester hospitalisée toute la semaine, a annoncé la Maison Blanche.

"Ce matin, la Première dame Melania Trump a subi une procédure d'embolisation pour traiter un problème bénin au rein. La procédure a été couronnée de succès et il n'y a pas eu de complications", a indiqué la porte-parole de la "First Lady" dans un communiqué.

L'ancienne mannequin slovène, 48 ans, se trouve à l'hôpital militaire de Walter Reed, à Bethesda (Maryland), dans la proche banlieue de Washington.

Melania Trump, née Melanija Knavs dans ce qui était à l'époque l'ancienne Yougoslavie, est la troisième femme de Donald Trump.

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Oups, Kendall Jenner a oublié de porter un pantalon!

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La top modèle Kendall Jenner est, tout comme sa famille, habituée aux tenues révélatrices. Elle a encore frappé à Cannes en portant un pull à sequins métalliques... sans le bas.

Certains diront qu'il s'agissait d'une mini-robe, mais ça a sérieusement l'air d'un pull. Vous savez, celui qu'on met tout seul chez nous avant d'aller se coucher, mais en version plus chic et plus étincelante.

La pièce signée Nicolas Jebran est en plus assez décolleté merci. Pas de bijou avec ça, juste des talons aiguille noirs. Clairement, le mannequin ne s'est pas cassé la tête pour l'événement-bénéfice Fashion for Relief. Elle voulait assurément montrer ses jambes longilignes, mais on se demande bien comment elle a réussi à s'asseoir sans dévoiler sa petite culotte.

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Dominique Demers, glorieuse alchimiste entre l’art et l’enfance

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Le printemps 2018 marque un point tournant dans la carrière de Dominique Demers. En plus de publier le huitième et dernier volet des aventures de Mademoiselle Charlotte, dont plus d'un demi-million de copies ont trouvé preneurs seulement au Québec, l'écrivaine participe à la campagne de sensibilisation «Lire pour emmieuter le monde», en offrant 20 000 copies de l'album L'été de la Petite Baleine, au prix symbolique de 1 $, les 2 et 3 juin prochains.

Quel est l'objectif de la campagne?

Selon les statistiques officielles, 60% des enfants ne se font jamais raconter d'histoire à la maison, mais je suis persuadée que c'est davantage. Pourtant, un enfant devrait débuter l'école après s'être fait raconter 1000 histoires, une par soir. Ça crée une fondation. Pour avoir le courage d'apprendre à lire et de pratiquer ensuite, il faut qu'il y ait quelque chose de magique qui nous attire. Comme un enfant qui veut apprendre à patiner: même si ça fait mal aux chevilles, que c'est difficile et qu'il se sent parfois ridicule, il continue parce qu'il veut jouer au hockey ou faire du patinage artistique. Les enfants ont besoin d'un rêve qui les supporte. Mon but est de faire entrer des histoires dans les familles. Avec seulement 10 minutes par soir, on peut emmieuter le monde, car on aide un enfant à découvrir le bonheur de lire. Et quand on aime lire, on est plus libre et plus puissant. Avec mon équipe, on a donc décidé d'offrir 20 000 exemplaires à 1 $ d'un album qui s'adresse autant aux garçons et aux filles, avec des personnages, les Gnoufs, qui existent eux-mêmes pour emmieuter le monde.

Un autre de tes personnages a ce talent : Mademoiselle Charlotte. Comment vis-tu la fin de cette aventure?

C'est très naturel. Que je raconte ses histoires ou pas, je vis avec elle depuis qu'elle m'est apparue. Au milieu des années 90, je faisais ma thèse de doctorat en littérature jeunesse. Autour de la page 300, j'ai attrapé une écoeurite aiguë. Je n'arrivais plus à me concentrer sur mon sujet. J'avais besoin de récréation. C'est à ce moment que Mademoiselle Charlotte est venue faire du camping dans ma tête. J'ai écrit son histoire pour me débarrasser d'elle. Puis, elle est revenue plusieurs fois. C'est sa huitième aventure en plus de 20 ans. Elle a occupé une grande partie de ma vie, mais elle ne me quitte pas. C'est juste que je ne raconterai plus ses histoires. Je n'ai pas de deuil à faire.

Comment la littérature jeunesse a-t-elle évolué au Québec depuis la création de Mademoiselle Charlotte?

Les années 80 et 90, c'était l'âge d'or de la littérature jeunesse. Tout était en mouvement. Il y avait peu de choses avant et ça éclatait avec vigueur. Je me trouve très chanceuse d'avoir été critique littéraire et chercheuse à cette époque-là. Il y a un peu plus de diversité aujourd'hui, mais... ça va être dur ce que je vais dire... il y avait peut-être moins trop de livres. On est dans le trop, je pense. Ça m'interpelle, car j'écris moi-même beaucoup et je me demande si je participe à ce trop. Dernièrement, j'ai appris à me poser une question: si j'avais une maladie grave et qu'on m'annonçait que je n'ai plus beaucoup de temps à vivre, est-ce que je terminerais le projet sur lequel je travaille?

Quel est le plus grand défi en écrivant pour les jeunes?

Réussir à atteindre une glorieuse alchimie d'art et d'enfance. Être près de notre public cible, sans jamais être réducteur, et relever tous les défis de la littérature. C'est exigeant d'écrire quelque chose de très fort et près des enfants. C'est un peu comme faire de la nourriture pour eux: quand je cuisine pour mes petites-filles et que je veux leur faire plaisir, je prépare un macaroni Kraft. Si je veux les prendre où elles sont et leur faire découvrir autre chose à leur mesure, mais qui les amène un peu plus loin, je vais me creuser la tête.

Dans le dernier tome de Charlotte, il y a des illustrations, certains mots en gras, en couleurs ou en plus gros caractères. Est-ce que ce sont de nouvelles stratégies pour capter l'attention des lecteurs?

Oui, j'appelle ça des récréations visuelles. Je trouve qu'il faut prendre les enfants où ils sont pour les amener ailleurs. Actuellement, ils sont tout le temps devant des écrans, en ayant accès à une information fragmentaire et syncopée. Elle est captivante, mais parfois, elle l'est tellement qu'il n'y a plus d'efforts à faire. Il faut donc considérer ces éléments en écrivant.

Comment a évolué Mademoiselle Charlotte depuis ses débuts?

J'ai essayé de garder des histoires à la structure semblable: à la fin, Mademoiselle Charlotte quitte toujours. C'est pour ça d'ailleurs que c'est si normal qu'elle me dise que je n'ai plus à écrire ses histoires. Je suis comme les enfants, j'ai moins besoin d'elle.

Est-ce angoissant d'élaborer le volet final d'une série à ce point marquante?

Un peu. Je ne voulais pas décevoir personne. C'est pour ça que j'ai attendu si longtemps, pour être sûr de son métier. Je devais trouver la note juste, comme en chorale, et la maintenir. Je voulais finir comme Mademoiselle Charlotte voulait finir, lui être fidèle. En littérature jeunesse, plus tu approches de la fin, plus tu t'effaces et plus tu laisses de l'espace aux personnages pour qu'ils te surprennent. C'est magique.

Elle joue le rôle d'infirmière particulière auprès de Raphaël et de Mylou, deux enfants confinés à l'hôpital: lui pour une fracture du fémur, elle pour un cancer. As-tu eu envie de camper cette histoire dans le milieu hospitalier après l'avoir beaucoup fréquenté dans les dernières années, avec ton cancer?

Sûrement que ça a joué. Infirmière, c'est le métier qu'elle a pris pour sa dernière apparition, car elle est aidante. C'est un rapport plus intime qu'avec un médecin. C'est de l'accompagnement, en partie. Ça touche à tout. Habituellement, je ne fais pas de recherches pour écrire Mademoiselle Charlotte, mais pour celui-là, j'ai passé du temps à Sainte-Justine avec des médecins, des infirmières et des enfants. Je devais découvrir ces enfants et leur potentiel. Mademoiselle Charlotte est un peu moins présente dans ce roman. Elle leur ouvre des portes, elle les inspire et leur donne beaucoup de place.

Le livre parle de vie, de mort, de maladie, d'ennui et de colère. Comment écrit-on là-dessus pour les enfants?

Ça a été un roman extrêmement difficile à écrire. Je marchais sur une corde raide, parce que ça devait rester gai, fantaisiste et drôle. Je ne voulais rien dédramatiser, mais il fallait que le courant de folie et de liberté passe quand même. Je l'ai testé auprès de 150 enfants avant de le publier. C'est un livre très important pour moi.

Allégations d'inconduite sexuelle: Christine Moore affirme qu'elle était en relation amoureuse avec Glen Kirkland

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Photo d'archives de Christine Moore.

La députée néo-démocrate Christine Moore a tenu un point de presse dans sa circonscription, à Rouyn-Noranda, lundi après-midi, où elle a répété la version des faits qu'elle avait racontée à La Presse canadienne la semaine dernière.

La députée, visée par des allégations d'inconduite sexuelle, a assuré que c'est une relation amoureuse de quatre mois qu'elle a eue avec un ancien militaire en 2013. Glen Kirkland, lui, allègue qu'elle a abusé de son autorité pour avoir une relation sexuelle avec lui.

Si elle est apparue seule devant les caméras, Mme Moore a manifestement du soutien légal et partisan.

Conseillée par un avocat, la députée a annoncé son intention de poursuivre l'homme et trois chroniqueurs de journaux qui ont rapporté ces allégations.

"Ils vont tous avoir l'opportunité de se rétracter, de présenter des excuses. Mais ils vont aussi devoir répondre devant la cour pour leurs fautes. Je vais entreprendre les recours appropriés, sans gaieté de coeur mais plutôt parce qu'on ne m'a laissé aucun choix", a-t-elle dit, lisant une déclaration qu'elle avait déjà livrée à La Presse canadienne.

Elle a tenu à remercier "tous mes collègues en Chambre qui m'appuient dans ma démarche", laissant bien entendre qu'elle n'est pas seule dans son combat.

La semaine dernière, c'est la direction des communications du caucus néo-démocrate qui a organisé la sortie médiatique de la députée, sortie qui a été suivie d'une déclaration du chef.

"Il y a des contradictions très nettes entre le compte rendu de M. Kirkland et celui de Mme Moore; voilà pourquoi il est si important d'avoir une enquête équilibrée et impartiale sur les allégations qui sont faites", a écrit Jagmeet Singh dans cette déclaration.

"Le processus de sélection d'une personne qualifiée pour mener l'enquête sans tarder est déjà en cours et devrait être terminé incessamment", a-t-il promis.

M. Singh a suspendu la députée des comités parlementaires et de tout rôle de porte-parole du parti, en attendant l'issue de cette enquête.

"Devant l'ampleur des allégations, je crois que M. Singh n'avait pas le choix de faire ce qu'il a fait et que c'était approprié de le faire", a dit Mme Moore, conciliante, en réponse aux quelques questions qu'elle a accepté de prendre à sa conférence de presse à Rouyn-Noranda.

Elle a promis de collaborer à l'éventuelle enquête, tout en laissant entendre que M. Kirkland pourrait ne pas en faire autant.

"À ce moment-ici, on n'a pas confirmé si l'autre partie allait participer à l'enquête", a-t-elle offert. M. Singh, lui, a dit s'attendre à ce que les "deux parties collaboreront de bonne foi avec la personne chargée de l'enquête".

La semaine dernière, M. Kirkland s'est montré plutôt réticent lorsqu'il a été joint par La Presse canadienne, répétant à plusieurs reprises qu'il n'avait pas porté plainte et qu'il n'était pas intéressé à discuter de cette affaire.

Il a toutefois maintenu sa version de la rencontre avec la députée, en juin 2013.

Lorsqu'il a été invité à corroborer ou infirmer certains détails, il s'est impatienté. Cherchant à expliquer pourquoi il a accueilli Mme Moore lorsqu'elle l'a rejoint en Saskatchewan en juillet de cette année-là, il a dit qu'il n'avait pas le choix. "Qu'est-ce que je pouvais faire une fois qu'elle était là? J'étais bien obligé de jouer le jeu", a-t-il lâché avant de raccrocher le téléphone.

La députée Moore veut que les résultats de l'enquête soient rendus publics et a bien l'intention de réintégrer toutes ses fonctions au sein de son parti.

Kelrisha Glasgow, une adolescente de 12 ans de Montréal, manque à l'appel

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Kelrisha Glasgow

Une adolescente de Montréal, Kelrisha Glasgow, 12 ans, manque à l'appel.

Elle a été vue pour la dernière fois sur la rue Jolicoeur près du boulevard Monk devant un restaurant Subway dans l'arrondissement Sud-Ouest. Ses proches craignent pour sa santé puisqu'elle a laissé des notes de suicide.

    Elle mesure 1,2 m (4') et pèse 55 kg (120 lb), elle a les yeux bruns, des cheveux noirs tressés et elle a les oreilles percées.

    Elle porterait un manteau rose foncé avec capuchon, un jeans bleu, un t-shirt bleu pâle, des espadrilles noires de marque «Champion», un sac à dos noir et blanc.

    Toute personne ayant de l'information à communiquer concernant cette disparition peut le faire en composant le 911, son service de police local ou de façon anonyme et confidentielle avec Info-Crime Montréal au 514 393-1133 ou en ligne.

    Description physique

    • Taille: 4 pieds (1,2 m)
    • Poids: 120 lb (55 kg)
    • Yeux bruns
    • Cheveux noirs
    • Oreilles percées
    • Porterait un manteau rose foncé avec capuchon, un jeans bleu, un t-shirt bleu pâle, des espadrilles noires de marque Champion
    • Transportait un sac à dos noir et blanc

    Québec: le producteur de spectacles Michel Brazeau est mort

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    Michel Brazeau

    Le producteur de spectacles bien connu dans la région de Québec, Michel Brazeau, est décédé le jeudi 10 mai dernier.

    Il avait été hospitalisé quelques jours auparavant à la suite d'une crise d'épilepsie. Il avait 62 ans.

    Michel Brazeau s'était fait connaître en tant que promoteur et producteur d'artistes internationaux et québécois dans la capitale dès les années 1980. Durant cette période, on lui doit la venue dans la région de Metallica, Céline Dion, Elton John, des Rolling Stones, Ginette Reno, Leonard Cohen, David Bowie, Iron Maiden et Styx, entre autres.

    Toute marque de sympathie peut se traduire par un don à l'Association québécoise de l'épilepsie, indique la famille.

    Karl-Emmanuel Picard, copropriétaire de L'Anti Bar & Spectacles et à la tête de la compagnie District 7, lui a rendu hommage sur Facebook.


    Gala Artis 2018: des valeurs inspirantes

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    Cette année, le Gala Artis s'est démarqué par trois valeurs inspirantes: la transparence, l'authenticité et le sens de l'inclusion.

    Ces trois valeurs ont été incarnées par trois personnalités qui ont reçu énormément d'amour de la part du public. Magalie Lépine-Blondeau a été le choix du public non seulement à titre de rôle féminin dans une série dramatique annuelle, mais également en tant que personnalité féminine de l'année. Dave Morissette a été élu l'animateur d'émission sportive de l'année, et Charles Lafortune, le préféré du public à titre d'animateur d'émission de variétés ou de divertissement ainsi que la personnalité masculine de l'année. Ces trois artistes ne se sont pas seulement distingués par la reconnaissance qu'ils ont reçue du public, mais également par les qualités qu'ils incarnaient.

    Une Magalie transparente

    Magalie Lépine-Blondeau a fait preuve d'une grande transparence sur deux plans : sa condition présente et son triste passé. Elle ne s'est pas gênée pour dire que deux choses la faisaient titiller lors des galas : des artistes qui improvisent lorsque vient le temps de s'adresser au public et ceux qui se présentent au micro émoustillés. Or, elle a avoué qu'elle n'avait pas répondu à ses propres attentes dans les deux cas. Évidemment, cette déclaration a fait rire la galerie, mais pour ma part, ce qui m'a touché le plus a été quand elle a mentionné son impopularité dans son milieu au cours de sa jeunesse.

    Sa transparence nous a permis de la voir différente de ce que ses rôles et son assurance qu'elle y dégage nous laissent croire, c'est-à-dire comme une femme au-dessus de ses affaires. Or, candidement, elle nous a partagé une tranche de sa vie qui nous amène non seulement à l'apprécier pour son talent, mais aussi pour son authenticité et son humilité. De telles déclarations s'écartent du politiquement correct où plusieurs artistes veulent uniquement se faire voir sous leur plus beau jour. Par leur transparence et leur candeur, les propos de Magalie ont été si percutants qu'ils ont traversé l'écran et nous ont rendus sensibles à son vécu.

    Un Dave Morissette authentique

    Dave Morissette n'a pas laissé, lui non plus, personne indifférent. Il n'est pas étonnant qu'il ait gagné la faveur populaire dans sa catégorie, car il incarne une valeur chère à la génération « X » : l'authenticité. On le voyait par les taquineries qu'il a lancées à son mentor et son ami Michel Bergeron que l'on surnomme amicalement « Bergy ». Par ailleurs, il a affirmé que ce que nous voyons de lui à la télé est ce qu'il est dans la vie privée. Il n'est pas une personne à l'écran et une autre dans son entourage. Dave n'incarne pas un personnage, il est ce qu'il est, et c'est, à mon avis, ce qui a incité des Québécois à voter pour lui. Par son authenticité, Dave a réussi à démolir le préjugé populaire selon lequel les artistes doivent jouer un rôle pour être appréciés.

    Un Charles inclusif

    De son côté, Charles Lafortune nous a rejoints droit au cœur lorsqu'il a mentionné que les Québécois avaient fait preuve d'ouverture à la diversité. Il a fait référence, d'abord, lors de sa première parution, au fait que les Québécois avaient choisi Yama, la semaine dernière, une Haïtienne d'origine, comme étant la voix du Québec. Plus tard, dans sa deuxième allocution, il est allé plus loin en faisant allusion à son fils et à tous ceux qui sont différents. Il nous a invités à nous intéresser à ceux qui ne sont pas comme tout le monde et à les faire sentir importants. Dans un monde où les artistes se montrent autosuffisants, Charles nous a sensibilisés sur le fait que l'inclusion est une valeur importante qui fait du bien à ceux qui se sentent incompris ou laissés pour compte.

    D'autres artistes inspirants

    Ces trois artistes ne sont pas les seuls à avoir incarné des valeurs qui nous rejoignent. Guy Jodoin a pris le temps de manifester son appréciation pour sa conjointe. Ses propos laissaient entendre clairement qu'il ne voulait pas prendre pour acquis le privilège qu'il avait de vivre à ses côtés. Quant à Charles Tisseyre, en matière de souci de l'environnement, il a su mettre en évidence le décalage qui persiste entre le discours des Québécois et leur mode de vie.

    D'autres artistes ont exprimé le fond de leur pensée et les valeurs qui les transportent. En cette occasion du gala, nous avons été enrichis par des artistes de cœur qui avaient envie de nous partager franchement un peu d'eux-mêmes. Si nous avons été si touchés par leurs propos et leur attitude, c'est parce qu'ils ont su respecter le public et être généreux de leur personne.

    Cette année, le Gala Artis s'est démarqué non seulement par des figures charmantes, mais également par des propos inspirants. Bravo à ces artistes qui n'ont pas tenu pour acquis que leur talent et leur charisme étaient suffisants pour percer l'écran. Ils ont compris que ce qui nous connecte à eux, c'est une expression authentique, transparente et inclusive de leur cœur.

    Plusieurs dossiers chauds de l'ALÉNA restent irrésolus, selon le secrétaire américain au Commerce Wilbur Ross

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    Photo d'archives de Guajardo Villarreal du Mexique, Chrystia Freeland du Canada et Robert E. Lighthizer des États-Unis.

    À quelques jours d'une échéance officieuse dans les négociations de l'Accord de libre-échange nord-américain, le secrétaire américain au Commerce a affirmé lundi qu'aucun des dossiers chauds n'avait encore été résolu.

    Les trois pays ont participé à de nombreuses rencontres dans le but de conclure une entente avant la tenue des élections au Mexique et aux États-Unis. Et selon des avocats américains, après la journée cruciale de jeudi, il ne sera plus possible de soumettre un accord de principe à un vote du Congrès américain cette année.

    Mais les commentaires du secrétaire américain au Commerce, Wilbur Ross, viennent jeter une ombre sur la faisabilité d'une telle tâche.

    Lors d'un passage au National Press Club de Washington, lundi, M. Ross s'est fait demander si certains dossiers avaient été réglés jusqu'à maintenant. Il a répondu par la négative, et ajouté que les dossiers de l'automobile, du mécanisme de résolution de conflits, du travail et d'une éventuelle clause crépusculaire restaient inachevés.

    Si aucun accord n'est conclu ce printemps, les négociations seront probablement remises à 2019, après l'élection d'un nouveau président mexicain et l'entrée en fonction d'un nouveau nouveau Congrès américain.

    Mariage royal: le père de Meghan Markle pourrait ne pas être présent

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    Photo d'archives de Meghan Markle.

    Le palais de Kensington a indiqué lundi soir que Meghan Markle vivait "un moment profondément personnel" après des informations de presse faisant état de l'absence du père de l'ex-actrice américaine à son mariage avec le prince Harry samedi.

    Selon le site d'informations à potins TMZ, Thomas Markle ne conduira pas sa fille à l'autel samedi au château de Windsor (ouest de Londres) comme il était prévu, pour ne pas la mettre dans l'embarras à la suite d'une séance de photos malgré les consignes de discrétion prodiguées.

    Il ajoute que Thomas Markle a en outre fait une crise cardiaque il y a quelques jours.

    "C'est un moment profondément personnel pour Mlle Markel dans les jours précédant son mariage", a indiqué un porte-parole du palais de Kensington, résidence officielle du prince Harry, dans un court communiqué.

    "Elle et le prince Harry demandent une nouvelle fois que compréhension et respect soient étendus à M. Markle dans cette situation difficile", a-t-il ajouté.

    Interrogé, le palais a refusé de préciser davantage le sens de ces déclarations et d'indiquer si M. Markle ne serait pas présent samedi.

    Les images de Thomas Markle, qui se seraient vendues 100 000 dollars à travers le monde selon le tabloïd Daily Mirror, montrent le septuagénaire en train de se faire mesurer le tour de taille ou de regarder des photos du futur couple royal sur un ordinateur.

    Selon des proches de M. Markle, cités par le quotidien, il se serait laissé convaincre, poussé à bout par les nombreuses sollicitations reçues et la pression des paparazzi à ses trousses, et se sent désormais "trahi" et "idiot".

    Cette mésaventure avait déjà poussé le palais de Kensington à mettre en garde contre la publication de photos volées de Thomas Markle et à respecter sa vie privée.

    À voir également:

    Couillard dénonce la politique «brouillonne» de la CAQ sur l'immigration

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    Pour la Coalition avenir Québec, l'immigration est "un problème à régler" plutôt qu'une "occasion extraordinaire pour le Québec", estime le premier ministre Philippe Couillard.

    Le premier ministre et chef libéral a rencontré la presse, mardi à Montréal, pour officialiser la nomination de l'homme d'affaires Alexandre Taillefer à titre de président de campagne pour la prochaine élection. À cette occasion, il s'en est une fois de plus pris aux positions de la CAQ en matière d'immigration.

    La CAQ propose d'abaisser le niveau d'immigration de 50 000 à 40 000 personnes par année et de veiller à une meilleure intégration des immigrants, tant au plan de l'emploi que de la francisation. La CAQ veut également soumettre les nouveaux arrivants à un "test des valeurs".

    L'Actualité vient de dévoiler la plateforme électorale de la CAQ en la matière, qui se veut plus précise: en plus d'un test des valeurs et d'un test de français pour les nouveaux arrivants, la CAQ demanderait que le candidat à l'immigration occupe un emploi ou fasse des démarches en ce sens. Un Certificat d'accompagnement transitoire serait émis, valide pour trois ans.

    C'est un autre exemple de proposition de la CAQ et de monsieur Legault qui est brouillonne, disons-le, et inapplicable à plusieurs égards.Philippe Couillard

    Les candidats qui échoueraient à trois évaluations ou qui refuseraient de s'y soumettre verraient le gouvernement fédéral les relocaliser ou les expulser.

    Un candidat répondant aux critères recevrait finalement un Certificat de sélection du Québec, rapporte L'Actualité.

    Brouillonne, dit Couillard

    "C'est un autre exemple de proposition de la CAQ et de monsieur Legault qui est brouillonne, disons-le, et inapplicable à plusieurs égards. Et ce qui sous-tend ce discours-là, c'est le fait que l'immigrant est un problème; c'est un problème à régler, alors que c'est une occasion extraordinaire pour le Québec", a commenté M. Couillard.

    À ses côtés, M. Taillefer a souligné que le Québec avait historiquement été "nourri" par l'immigration. Il y voit là "une force inouïe".

    Ça ne se peut pas, dit Lisée

    À Québec, le chef péquiste Jean-François Lisée a repris une partie des propos de M. Couillard, trouvant lui aussi inapplicable la politique caquiste. La CAQ s'affaire à "proposer des affaires qui ne se peuvent pas", a conclu M. Lisée.

    Qu'adviendra-t-il au bout de trois ou quatre années, si le candidat à l'immigration échoue son test? a demandé M. Lisée à voix haute. La CAQ va attendre que le gouvernement fédéral expulse le candidat, mais le fédéral ne le fera pas, donc le candidat restera au pays quoi qu'il advienne, a conclu M. Lisée.

    Le PQ préfère privilégier la connaissance du français du candidat avant son arrivée au Canada, afin de faciliter son intégration.

    La CAQ réplique

    La CAQ s'est à son tour défendue d'être brouillonne avec ses propositions.

    "Ce qui est brouillon, c'est la tentative des libéraux de Philippe Couillard de cacher le problème sous le tapis, a répliqué la porte-parole du parti pour ces questions, Nathalie Roy. Il y a des problèmes d'intégration des immigrants au Québec, mais les libéraux refusent de l'admettre. Après 15 ans de régime libéral, le taux de chômage des immigrants après 5 ans est de 15 pour cent, il y a plus d'un immigrant sur quatre qui quitte la province et l'immigration en région est déficiente.

    "La proposition de la CAQ vise à s'assurer que les gens qui viendront s'établir définitivement ici parlent français, adhèrent à nos valeurs et désirent occuper un emploi. Les libéraux sont rendus à mentir sur nos propositions et les démoniser", a-t-elle ajouté.

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    15 activités pour un Bachelorette réussi

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    Avec la saison des mariages vient la saison des Bachelorettes!

    Mesdames, nul besoin d'aller à Las Vegas pour avoir du plaisir entre filles. Montréal et Québec offrent 1001 options pour organiser une journée... inoubliable! Voici donc quelques idées pour vous inspirer, et ce, peu importe votre budget et vos intérêts.

    Un atelier de mixologie chez Ateliers et Saveurs

    Quoi de mieux, pour se mettre dans l'ambiance, que de concocter de délicieux cocktails dans un cadre festif? Pour ce faire, rendez-vous chez Ateliers & Saveurs (deux succursales à Montréal et une à Québec), où vous apprendrez à faire les plus délicieux cocktails, que vous aurez évidemment la chance de boire par la suite. De quoi commencer la journée en beauté!

    Un cours de pole dancing

    Laissez aller votre sensualité dans un cours de pole dancing et profitez-en pour apprendre quelques mouvements qui sauront pimenter votre vie de couple... La future mariée aura également de quoi surprendre son bien-aimé durant la nuit de noces! À Montréal, on vous recommande Milan Pole Dance Studio et à Québec, le Studio Parallèle.

    Un tour de limousine

    C'est un peu cliché, certes, mais c'est la meilleure façon de se sentir comme une princesse, l'instant d'une soirée, et d'attirer tous les regards. Bref, votre tour de limousine sera assurément un moment fort de la soirée! À Montréal, on opte pour Autobus Limo et à Québec, on fait confiance à Groupe Limo Québec.

    Un cours personnalisé de maquillage/coiffure

    Prenez rendez-vous au studio Wonderblush pour apprendre comment effectuer votre maquillage et votre coiffure... comme une pro! Vous sortirez de là déjà toute prête pour faire la fête jusqu'au petit matin et pourrez même reproduire ce look à la maison par la suite. Bref, une pierre deux coups! En plus, le local est girly à souhait.

    Un souper plus que parfait à La Champagnerie

    La Champagnerie est une adresse de prédilection pour les futures mariées. En raison de la forte demande, cet établissement du Vieux-Montréal vient tout juste de lancer des forfaits Bachelorette (pour 10 personnes et plus) qui simplifieront grandement la tâche des organisatrices. Plusieurs options sont disponibles, en fonction du budget (de 40$ à 175$ par personne) et des attentes de chacun.

    Tous les forfaits incluent la décoration de verres et bouteilles, des jeux/défis durant le repas, une initiation au sabrage pour la future mariée, ainsi qu'une photo dans le booth Instagram La Champagnerie. Plaisir garanti!

    Un show de Drag Queen

    À Montréal, c'est au Cabaret Mado que ça se passe et à Québec, c'est au bar Le Drague! Peu importe de quel côté de l'autoroute 20 vous vous trouvez, un spectacle de Drag Queens est toujours une option gagnante pour un Bachelorette party. Des rires, des paillettes et des bulles en masse!

    Un pyjama party dans la suite présidentielle

    Parce qu'on ne se marie qu'une seule fois dans notre vie (en théorie), pourquoi ne pas célébrer ça en grand en louant la suite présidentielle de votre hôtel favori? À Montréal, celle de l'Hôtel W vient tout juste d'être rénovée et est tout indiquée pour un enterrement de vie de jeune fille, tandis qu'à Québec, c'est à l'Hôtel PUR qu'on se donne rendez-vous.

    Un week-end au chalet

    Vous rêvez d'un week-end tranquille, plutôt que d'une soirée de fiesta dans les rues de Montréal avec vos couronnes brillantes et vos chandails thématiques? Pas de problème! Il est possible de louer un chalet en bordure des grandes villes pour échapper au rythme effréné et profiter d'un moment bien-être entre copines.

    Ralia Retreats est situé à Saint-Donat (Lanaudière), soit 1h de Montréal, et offre le cadre idéal pour une retraite entre filles. 10 lits, une salle de yoga, un spa et un sauna, une grande cuisine tout équipée et un magnifique lac privé. Il est même possible de prendre l'option « tout inclus », comprenant les repas santé, et de faire venir une massothérapeute pour vous chouchouter. La belle vie, quoi!

    La route des vins

    Pas besoin de se rendre en France, en Italie ou en Californie pour faire la route des vins. Brome-Missisquoi, dans les Cantons-de-l'Est, offre de très belles options, qui vous permettront même de découvrir d'excellents cépages québécois.

    En vrac :

    -Dansez sur le bar et tentez votre chance au taureau mécanique au bar Chez Serge (Montréal)

    -Enfilez une queue de poisson et transformez-vous en Arielle, chez Aqua Sirène (Québec et Montréal)

    -Passez une soirée 100% burlesque au Bord'Elle (Montréal)

    -Chantez à tue-tête au Ninkasi (Québec) ou au Pang Pang Karaoké (Montréal)

    -Habillez-vous chic et offrez-vous l'afternoon tea au Ritz-Carlton (Montréal)

    -Faites déplacer le « beautytruck » La Rousse Mobile pour une mise en beauté à domicile (Montréal)

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